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Marc Fievet

Photo de marcfievet55

marcfievet55

Description :



Marc Fievet a été recruté par les douanes françaises pour infiltrer les grands réseaux de narcotrafic. Il a été enregistré au sein de la D.N.R.E.D., (Renseignement et Enquêtes douanières), sous le numéro NS 55. Il est surtout connu pour ses actions d'infiltration qui ont fait tomber d'importants narcotrafiquants de la mafia.

Il a purgé plus de dix ans de prison (3 888 jours) en Espagne, en Angleterre, au Canada et en France, trahi par les gens qui l'employaient.

En 1993, il infiltre, pour le compte des autorités douanières françaises, un important réseau mafieux italien dirigé par Claudio PasqualeLocatelli

Les autorités anglaises et canadiennes arraisonnent deux de ses bateaux, le MY Poseidon et le MV Pacifico. Continuant à travailler pour la DNRED en étroite collaboration avec David May du DEA Paris, Il est alors interpellé le 23 septembre 1994 en Espagne par Interpol pour trafic de stupéfiants et placé en détention.

Trois ans plus tard, après un détour par l'Angleterre, c'est au tour du Canada de le condamner, cette fois à perpétuité.

Le 26 mai 2005, il est libéré en conditionnelle par la justice française.

Marc Fievet a plaidé coupable des charges qui pesaient sur lui en Angleterre suite aux pressions et au chantage de l'attaché douanier à Londres Philippe Galy qui lui dira: Vous plaidez coupable et vous la fermez, sinon on s'arrangera pour vous en faire prendre 10 ans. Puis au Canada sur les « conseils » des autorités françaises venues de France et de Washington DC lui garantissant en échange d'un plaidoyer de culpabilité, sa libération dès son retour sur le territoire français. Conseils donnés au pénitencier de Renous par les douaniers français Gatard et Roux en présence du consul général de France, Monsieur Olivier Arribe.
Mais, lors de son retour en France en 1998, les promesses faites par Christian Gatard, directeur des douanes de Marseille, et Bernard Roux, attaché douanier à l'ambassade de Washington, D.C., émissaires de la Direction générale des douanes françaises lorsqu'ils ont rencontré Marc Fievet au pénitencier canadien de Renoux au Nouveau Brunswick n'ont jamais été tenues.
Les directeurs généraux Pierre Mathieu Duhamel et François Auvigne refuseront d'assurer la continuité du service de l'État, laissant Marc Fievet en prison et trahiront ainsi la parole de l'État.
L'Inspecteur des Finances,François Auvigne, Directeur général des douanes françaises, signifiera à Jean Puons, directeur de la DNRED, qu'il ne voulait plus entendre parler de cette affaire.
De plus, la justice française, en refusant sa libération, a prolongé son incarcération. En effet, s'il avait purgé sa peine au Canada, il aurait été libéré le 11 juin 2004 alors que sa libération effective en France ne le fut que onze mois plus tard.
Sur ce sujet, le député français Arnaud Montebourg a déclaré, lors d'une émission de Tout le monde en parle : « La France doit des excuses à Marc Fievet et réparations... ».

La situation est ubuesque, condamné au Canada à la prison à perpétuité pour trafic de drogue avant d'être transféré en France, où sa peine a été « réduite » en 1999 à vingt ans de prison, Marc Fiévet, aviseur des douanes — c'est-à-dire « agent infiltré indicateur » — a été « blanchi » par la justice française. L'agent NS55, soupçonné d'avoir importé plusieurs tonnes de cocaïne en Grande-Bretagne et au Canada, avait déposé plainte contre son administration pour « complicité de trafic de stupéfiants » et « subornation de témoin». Considéré comme l'un des meilleurs aviseurs de toute sa génération, adoubé par Michel Charasse, alors ministre du Budget, il assure avoir été « lâché » par l'État français. Michel Charasse qui avait porté plainte contre Marc Fievet pour diffamation, a perdu en première instance et en appel. Tout en reconnaissant que les propos à l'égard de Michel Charasse étaient bien diffamatoires, la 17e chambre a relaxé Marc Fiévet en lui reconnaissant "le bénéfice de la bonne foi". Le tribunal a notamment motivé son jugement en soulignant la "légitimité" des critiques que l'ancien aviseur avait pu tenir à l'encontre de l'administration des douanes, coupable d'un "traitement à tout le moins aventureux - de l'agent NS 55 - au regard des conséquences pénales qui ont suivi".
La juge d'instruction parisienne, Sophie Clément a rendu le 16 mai un non-lieu explosif: elle assure qu'il n'y a pas lieu de poursuivre quiconque pour complicité de trafic de drogue car « les investigations entreprises, les auditions réalisées,. l'étude des documents figurant en procédure, ne permettent pas de caractériser à l'encontre de Marc Fievet les faits de trafic de stupéfiants ». Elle estime, par ailleurs, qu'il n'y a pas lieu non plus de poursuivre pour « subornation de témoins » le personnel des douanes, qui avait convaincu l'agent de plaider coupable dans le but d'obtenir une libération rapide après son transfert en France, car il ne pouvait imaginer que cet engagement ne serait pas suivi d'effet après l'arrivée de François Auvigne, nouveau directeur des douanes ». Marc Fievet qui a passé onze ans en prison, dont huit en France, estime que les douanes ne l'ont pas « couvert » lors de son arrestation. L'administration assure, elle, que l'agent NS55 aurait caché des opérations « intermédiaires ». Une version démentie par l'instruction. L'ancien directeur de la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), Jean Henri Hoguet, a affirmé à la juge qu'il n'avait « jamais entendu la DNRED dire que ce dernier avait tenté de faire du trafic pour son propre compte ».

Il confirme que plusieurs responsables des douanes sont allés rendre visite à Marc Fiévet en Espagne, puis en Angleterre et au Canada : « On lui a dit de plaider coupable et qu'ensuite on le ferait rapatrier en France pour arranger les affaires », assure le haut fonctionnaire.

Cependant, Jean-Henri Hoguet assure qu'il s'est passé ensuite « quelque chose de tout à fait inhabituel » : le nouveau directeur général des douanes, qui ne connaissait pas l'affaire, devait intervenir auprès du ministre des Finances, qui devait lui-même avertir le ministère de la Justice pour tenter d'obtenir — via le parquet — sa remise en liberté. « Une peine symbolique, comme par exemple cinq ans avec sursis », précise l'ex patron de la DNRED. Une promesse faite à l'agent infiltré qui n'a jamais été tenue.

La situation a scandalisé M. Hoguet : « Si je suis sorti de ma réserve, c'est que je trouve inadmissible ce qui s'est passé (...). C'est la première fois que je rencontre un tel comportement qui fait que la continuité de l'État n'est pas assurée ou assumée ». L'avocat de l'aviseur, Christophe Pech de Laclause, entend bien s'appuyer sur cette ordonnance pour relancer la procédure de révision du procès au Canada et engager la responsabilité de l'État français. Pendant ce temps, les tracas se poursuivent pour Fievet, libéré le 26 mai 2005, il est « conditionnable » jusqu'en 2013.

L'« affaire Fievet » a été évoquée par un grand nombre de média télévisé et de presse écrite français, et plus particulièrement dans les émissions d'investigation telles que Pièces à conviction (4 reportages diffusés en 2003, 2004, 2005, 2006), Dossier Scheffer, Zone interdite. En 2005, les droits du livre L'Aviseur ont été acheté par le producteur Dimitri Rassam. le film a été réalisé par Julien Leclercq en 2012 en Espagne et au Canada avec Abdel Raouf Dafri au scénario. L'avant-première de Gibraltar au festival du film d'Angoulême 2013 et le film est sorti est en salle le 11 septembre 2013 avec pour titre: "Gibraltar". Le DVD est sorti le 15 janvier 2014.

De mai 2007 jusqu'en avril 2008, Marc Fievet a effectué un tour de France pour informer de la problématique « drogue » et sensibiliser les douaniers sur sa situation. Ce « tour de France » a été suivi par une équipe de journalistes qui ont mis en ligne des infos et des images de ce "narcotour de France ".



TF1 avec son magazine "7 à 8", FR3 avec l'émission "Pièces à Conviction" , FR2 avec "TOUT LE MONDE EN PARLE" , M6 avec "Zone interdite", Libération, Marianne, Le Monde, Le Parisien, La Voix du Nord, La Dépêche du Midi, Entrevue, Blast, Playboy,etc. ont abordé la situation de Marc Fievet.

Marc Fievet a écrit quatre livres: "L'Aviseur" édité chez Michel Lafon et "Dans la peau d'un narco", avec Olivier-Jourdan Roulot, édité chez HUGODOC puis GIBRALTAR (Michel Lafon) et INFILTRE au coeur de la mafia (HUGOdoc) avec Olivier Jourdan Roulot
Le film GIBRALTAR de Julien Leclercq, trés librement inspiré du livre L'Aviseur a été scénarisé par Abdel Raouf Dafri, est sorti en salle le 11 septembre 2013.

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Parodie de justice à Bathurst-NB Canada!

PARODIE de Justice à BATHURST - NB Canada
 
En juin 1998, la Justice canadienne...poursuit Carlos Hernandes Rumbaut et...acquitta ce narcotrafiquant avec l'aide de la GRC/RCMP en octobre !Parodie de justice à Bathurst-NB Canada!
 
Le procès de Carlos Miguel Hernandes-Rumbaut, accusé de conspiration dans le but d'importer de la cocaïne au pays, a débuté à Bathurst. L'homme de 53 ans avait été arrêté en 1994, suite à une importante descente policière au large de Shelburne, en Nouvelle-Écosse, qui avait mené à la saisie de cinq tonnes de cocaïne d'une valeur totale de plus d'un milliard de dollars.
Rumbaut est soupçonné d'être une des têtes dirigeantes du groupe qui tentait de faire entrer la drogue au pays. Dix personnes ont déjà été emprisonnées pour leur participation dans ce crime, dont Marc Fievet, qui sert une peine de prison à vie au pénitencier de Springhill, en Nouvelle-Écosse.
 
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/11/11363.htm
 
 
 
 
 
Parodie de justice à Bathurst-NB Canada! 

 
Dans les quelques 3 000 pages que le gendarme Fournier a donné à Marc Fievet, seules preuves auxquelles il eut accès, il s'avère qu'il n'y avait aucune trace des enregistrements des conversations téléphoniques de Messieurs Claudio Locatelli et Carlos Hernandes Rumbaut en place à Montréal au moment des faits.
Marc Fievet a eu accès au dossier de Jürgen Kirchhoff, le capitaine du Pacifico, et, grâce à sa complaisance, il a pu récupérer les enregistrements de ces trafiquants.
 
Marc Fievet précise que:
 
Le mercredi vingt-deux octobre 1997, les gendarmes Degresley et Fournier sont venus me rendre visite au pénitencier de Springhill en Nouvelle Ecosse et m'ont rapporté une partie de mon dossier de défense. Le reste sous quinzaine me diront-ils Degresley me demande d'agir sur le capitaine du Pacifico, Jürgen Kirchhoff, détenu dans le même établissement pour qu'il supprime son appel. J'accepte, pour que personne ne se méprenne sur mon appartenance à la DNRED.
A ma demande, Jürgen Kirchhoff, le capitaine propriétaire du cargo Pacifico se désistera, pourtant les avocats de Kirchhoff étaient sûrs de faire casser le jugement de la saisie du M/S Pacifico qui étant illégale reste illégale.
La "légalisation" de la saisie du M /V Pacifico en Eaux Internationales n'avait pu intervenir qu'en utilisant la seule jurisprudence créée par la saisie en haute mer du M/V Poseidon, décrétée légale par le juge Devonshire dans le jugement de Mills[1].
La GRC a déjà récupéré le montant de la vente du Pacifico, obtenue après dessaisissement du juge Alex Deschenes qui ne voulait pas légaliser cet acte de piraterie. Pourquoi se compliquer la vie, ici au Canada, comme ailleurs, quand un juge ne veut pas enfreindre la loi, il suffit d'en changer! Le nouveau juge canadien Roger McIntyre se verra offrir un voyage à Londres pour rencontrer le juge Devonshire pour conforter la décision qu'il doit prendre et demander au juge Devonshire d'ajouter dans le jugement de Mills, le narco anglais condamné pour la saisie "légale" en haute mer du Poseidon afin que cette dernière soit utilisée comme jurisprudence. La "pression" qu'il a de la GRC est très forte puisque le fils du juge Roger McIntyre est poursuivi par la GRC pour trafic de stupéfiant.
Pour récompenser la docilité et la soumission de ce juge acceptant la collusion, les poursuites contre le fils du juge McIntyre seront abandonnées.
 
Le Narco trafiquant Carlos Hernandez-Reumbeaut, toujours incarcéré à Renous, plaide non coupable sur les charges sur lesquelles, moi Marc Fiévet, l'agent infiltré, j'ai dû plaider coupable. Il ne craint plus qu'un seul témoignage: mon témoignage. Les Autorités canadiennes, par le sergent Degresley et le gendarme Fournier, m'informent que Carlos Hernandez-Reumbeaut a émis des menaces de mort sur ma famille si  je me décidais à témoigner contre lui.
 
Ils utiliseront le service de sécurité de la prison de Springhill, N.S, pour me faire parvenir ces menaces. Ces menaces seront également transmises à l'ambassade de France d'Ottawa, Ambassadeur Loïc Hennekinne[1] et aux Douanes françaises.
Le consul général de France à Moncton, Monsieur Olivier Arribe me confirme ces menaces et me dit lors d'une visite, que ces menaces ont été prises très au sérieux par les Autorités françaises.

[1] En 2000, par courrier, le secrétaire général du Quai d'Orsay qu'est devenu Loîck Hennekinne, me dira qu'il n'avait plus souvenir des menaces transmises par les gendarmes canadiens...


[1]  Mills: Narco anglais impliqué dans l'affaire Poseidon


 Carlos Hernandes Rumbaut acquitté....
 
 
Carlos Hernandes Rumbaut, le présumé co-dirigeant d'un complot pour importer 5,5 tonnes de cocaïne au Canada, qui a été acquitté lundi à Bathurst, est en route pour Montréal où Immigration Canada décidera de son sort. L'avocat de Carlos Rumbaut, Scott Fowler, a indiqué à Radio-Canada que les autorités avaient placé son client dans un avion lundi soir à Moncton sans que celui-ci puisse le contacter. L'homme a cependant été pris d'un malaise à bord de l'appareil et les autorités ont dû opter de faire le trajet jusqu'à Montréal en automobile. Rumbaut n'a pas été libéré immédiatement après son acquittement car Immigration Canada affirme qu'il est techniquement au pays illégalement.
 
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/16/16662.htm
 
 
GIBRALTAR, le film sera en salle le 11 septembre 2013 !
 
 
Parodie de justice à Bathurst-NB Canada!

 
Le témoignage de Marc Fievet, NS 55 DNRED, sur les ondes canadiennes en cliquant sur: 

 
http://www.libertyvox.com/files/RocKIK_MarcFievet_070206.mp3 
ou
 
http://aviseurinternational.wordpress.com/2013/03/04/la-sortie-du-film-gibraltar-est-programmee-pour-le-11-septembre-2013/
 
 

Quelles sont  les raisons qui poussèrent les enquêteurs à ne pas utiliser ces preuves accablantes pour faire condamner Carlos Hernandes-Rumbeaut ?
 
 
Parodie de justice à Bathurst-NB Canada!

 
 Drugs and the CIA
          by Ralph McGehee <RMCGEHEE@IGC.APC.ORG

   The CIA's anger over the issue of its involvement in drug trafficking
is somewhat understandable -- primarily because it knows little. It
seldom reports such details on its own agent operations; and, it
does not catalogue its own sins. (The CIA protested details of the
Discovery Channel's program on the CIA -- especially Part III
"Blowback," to be broadcast tonight.)

   CIA's Public Relations officers must rely on the Operations
Directorate to provide it with information and that process/element
inevitably practices internal deceit even when it knows the details.
So genuine denials by the CIA's PR offices should not be taken at face
value.

   Other elements contributing to this problem are the
policies of "Need To Know" and "Compartmentation."  The top
management knows some, but individual case officers frequently
are unaware of what others in their offices do. But top officers
are interested in moving projects forward, not mentally or
otherwise cataloguing details, especially details of illegal
activities.

   Another major problem is record-keeping. Once an operational
plan becomes an operation, the operation is given a cryptonym
and virtually all reporting goes into the operational file with
no attempt made to record details in an information-retrieval system.
(Exceptions are some personality information that goes into an
individuals file, intelligence reporting being considered for dissemination,
and a few other items.) Once an operational monthly or periodic report
is filed, the information is recoverable only by a document-by-document
review. Consider that the 1975-1976 Church Committee said at one point
that in a multi-year period the CIA ran 900 major covert operations and
thousands of lesser operations. Knowing that each operation generates
some to massive amounts of documents, we can appreciate what happens.

   The CIA's Inspector General promised months ago to compile
a report on the CIA's drug trafficking/suppression consequences.
To do a thorough job his staff would have to review all operational
files -- this is impossible so his report will only touch the surface.

   For my part I have catalogued overt reporting on the drug
trafficking/suppression operations which the IG is welcome to
use as one part of his search for the truth. A few of these
citations are listed below.

Ralph McGehee
CIABASE

Drugs

  in  71  nixon made a  CIA official, Lou Conein, a drug intel agency boss.
  CIA hand lucien conein named head of DEA's special operations branch.
  He created a deep-cover CIA/DEA narcotics op in miami, code-named
  buncin/deacon, and recruited a staff of 19 - anti-castro contract agents.
  documents released under FOIA to researcher john hill describe a gentlemen's
  agreement between CIA and the justice department to ask for dismissals
  rather than expose sources or techniques. convicted drug smuggler and bay
  of pigs vet carlos hernandez rumbaut, continued his trafficking activity
  through 1976. justice dumped the agreement in 1976, but conein had worked
  out a "crossover" arrangement whereby DEA would claim that any CIA asset
  busted for narcotics smuggling was on a deep-cover DEA assignment. none of
  CIA's cubans were prosecuted for drug smuggling. 27 u.s. prosecutions of
  latin america drug cases and two other major cases had to be dropped
  because of CIA's domestic involvement. information from the book by a
  former FBI officer -- William Turner; and, writer warren hinckle (1992).
  deadly secrets xxxvii

  50-92  "the big white lie: the deep cover operation that exposed CIA
  sabotage of the drug war" by michael levine with laura kavanau-levine 1993
  thunder's mouth press. on his resignation, kerry's chief investigator, jack
  blum, said, "i am sick to death of the truths that cannot be spoken." as a
  25-year veteran undercover agent for DEA working deep-cover drug cases from
  bangkok to buenos aires, i was witness to the most scandalous of these
  truths. CIA would have us believe their protection of drug dealers for past
  two decades - from heroin-producing tribes of southeast asia to the
  cocaine-dealing nicaraguan contras - was well-meaning and in the interests
  of national security. enter the inner sanctum of the biggest, whitest,
  deadliest lie of them all - the war on drugs. fortfan aol.com 10/20/96

  central america,  81-96  jack blum says CIA ignored drug issue. agency did
  not encourage trafficking by contras. jack blum testified the justice
  department blocked kerry subcommittee's inquiry in late 1980s into
  allegations CIA intervened in court cases, "to help people who helped them
  in covert wars." william weld, then assistant attorney general in charge
  was an "absolute stone wall who systematically tried to discredit the kerry
  investigation by preventing u.s. attorneys from cooperating with them.
  panama, haiti, and honduras were countries where the reagan adm was aware
  intel officers were tolerating drug dealing by local citizens. washington
  post 10/24/96 a18

  central america,  81-96  senator kerry committee chief counsel jack blum
  says, "if you ask: in the process of fighting a war against the
  sandinistas, did people connected with the u.s. gvt open channels which
  allowed drug traffickers to move drugs to the united states, did they know
  the drug traffickers were doing it, and did they protect them from law
  enforcement? the answer to all those questions is yes." los angeles times
  10/21/96 1

  central america,  82-96  geraldo rivera show on cnbc-tv 10/9/96. jack blum,
  chief counsel for the kerry committee, michael levine, former DEA
  undercover agent, rep. maxine waters, congresswoman from california. blum:
  we investigated these charges almost 10 years ago. the contras were
  involved in trafficking cocaine. reagan adm worked very hard to make us
  forget about the problem completely. blum: there was absolutely no evidence
  that there was a CIA conspiracy to sell drugs to support the contras. i can
  assure you that the contras never saw the money. money itself was pocketed
  by a whole range of contra crooks. blum: there is no question that ollie
  north knew he was dealing with drug dealers. north ...negotiated with
  general noriega at the time noriega was known to be dealing drugs. michael
  levine: and ollie north had large amounts of unexplained cash that he was
  never investigated for.... blum: and ollie says during the course of
  negotiating with noriega, "what can be done to clean up the problem?" and
  noriega volunteers to assassinate the sandinista leadership. levine: in
  1993, CIA was caught red-handed smuggling a ton on [cbs-tv's] "60 minutes"
  you saw the head of DEA look at the camera and say, "there is no other way
  to describe this other than drug smuggling. there were specific people
  involved, but we never prosecuted." i personally was involved in a
  deep-cover case that went to the top of the drug world in three countries.
  CIA killed it. jimh wwa.com langley dirac.scri.fsu.edu 10/10/96

  central america, guatemala,  50-96  jack blum's paper. those of us involved
  in the senate investigation were aware of the contra connection to the west
  coast cocaine trade. when we tried to pursue the investigation, the justice
  department criminal division, then headed by bill weld, fought giving us
  access to essential records and to witnesses in government custody. the
  justice department did everything possible to block our investigation. it
  moved prisoners to make them inaccessible, instructed justice employees not
  to talk to us, punished an assistant u.s. attorney for passing information
  to the subcommittee. a review of the history of covert operations in the
  caribbean and south and central america shows a 40-year connection between
  crime and covert ops that has repeatedly blown back on the united states.
  same history will show that the ops in the region were, for the most part,
  moral and political failures. other ops in asia and europe have had similar
  consequences -- the worst in the narcotics area. many historical details.
  jack blum 10/23/96

  central america, nicaragua,  81-96  jack blum, helped run kerry
  investigation. a former senior CIA officer said that from 1981 to 1984
  agency case officers working in field with contra "weren't making
  themselves fully aware of drug activity. we were focused on building up"
  the contras. clarridge, in 1981 was chosen to head ops against sandinistas.
  he said his interest in drugs was documenting cocaine trafficking by
  sandinistas. morales case, seems to remain best-documented example of a
  contra group cooperating with a drug trafficker and receiving substantial
  aid in return. per pastora and chamorro, morales -- who was convicted in
  1986 of drug trafficking and died in prison in 1991 -- contributed at least
  two airplanes and $90,000 to the pastora group, known by its spanish
  initials arde. in sworn testimony to the kerry committee and a separate
  court case before he died, morales said he gave airplanes and cash to
  contras because he was promised by chamorro that contras would use their
  influence with the u.s. to help with his legal problems. although
  imprisoned, he told kerry committee that he had in fact received some legal
  help. washington post 10/31/96 a1

http://www.acorn.net/jfkplace/03/rm/cia-drugs

 
 
 
 


Bay of Pigs veterans
 
http://www.pinknoiz.com/covert/bop.html
 
 
A lire:
 
 
Parodie de justice à Bathurst-NB Canada!
 
et
 
Parodie de justice à Bathurst-NB Canada!
Tags : GRC-RCMP, DEA, Opération Dinero, MV Pacifico, Douane française, DNRED, DOD, DED, DRD, Olivier Arribe, Loïck Hennekinne, Moncton-NB, Bathurst-NB, Cocaïne, Drogue, Narcotrafic, Marc Fievet, NS 55 DNRED, Carlos Hernandes-Rumbaut, CIA, Philippe Galy, Jean Paul Garcia, David May, François Auvigne, Christian Gatard, Renous-NB Canada, Springhill-NS Canada
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#Posté le samedi 17 août 2013 20:36

Modifié le dimanche 18 août 2013 09:48

VIDEO: Dans Rue89

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#Posté le dimanche 24 février 2013 03:50

Confidences à bord du Laïka

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#Posté le dimanche 17 février 2013 13:41

A Puy-Guillaume, "chez" Michel Charasse

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#Posté le dimanche 03 février 2013 03:43

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